Histoire du Régiment - 3eme Artillerie à Pied

SHD
3ème Régiment d'Artillerie à Pied
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Notre Pièce
La pièce d’Artillerie est une réproduction 6/8 du canon 4 livres Gribeauval qui fut mis au point par l’ingénieur Jean-Baptiste Vaquette de Gribeauval .
Gribeauval
Jean-Baptiste VAQUETTE de GRIBEAUVAL
° 15 septembre 1715 à Amiens

- + 9 mai 1789 à Paris

PREMIER INSPECTEUR GENERAL DU CORPS ROYAL DE L'ARTILLERIE

Après un séjour en Prusse et en Autriche, il réforma l'Artillerie française et inventa un canon qui porte son nom : canon GRIBEAUVAL.
Coffret
Chaque canon disposait d'un coffret d'affût contenant les cartouches à boulet. Le boulet était ensaboté - fixé dans un sabot de bois cylindrique - cette cartouche était enfoncée dans la gueule du canon à l'aide du refouloir et la mise à feu s'effectuait à l'aide d'un boutefeu.
Transport
Charriot, conçu pour le transport de munitions.
Distances
Ces projectiles étaient en fonte de fer, leur portée pouvait aller jusqu'à 1800 mètres. Artilleur de formation, Napoléon optimisa les réformes du Gribeauval en développant une nouvelle stratégie militaire pour l’artillerie, une mobilité plus grande, des tirs croisés comme pendant le siège de Toulon ou des détachements mobiles comme à Austerlitz.
Boulets
Différents calibres
La pièce d’Artillerie est une réproduction 6/8 du canon  4 livres Gribeauval qui fut mis au point par l’ingénieur Jean-Baptiste Vaquette de Gribeauval .
 
Jean-Baptiste VAQUETTE de GRIBEAUVAL       
 
° 15 septembre 1715 à Amiens  
- + 9 mai 1789 à Paris     
PREMIER INSPECTEUR GENERAL DU CORPS ROYAL DE L'ARTILLERIE       
 
Après un séjour en Prusse et en Autriche, il réforma l'Artillerie française et inventa un canon qui porte son nom : canon GRIBEAUVAL.  

Le fameux canon Gribeauval mis au point par l’ingénieur Jean-Baptiste Vaquette de Gribeauval en 1776 est la pièce emblématique de l’artillerie Napoléonienne.
Le  Gribeauval a beaucoup évolué au cours de l'Empire, cette arme est  devenue ainsi plus légère, mobile et maniable. Chaque canon disposait  d'un coffret d'affût contenant les cartouches à boulet. Le boulet était  ensaboté - fixé dans un sabot de bois cylindrique - cette  cartouche était enfoncée dans la gueule du canon à l'aide du refouloir  et la mise à feu s'effectuait à l'aide d'un boutefeu.
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